Après les ravages de la seconde guerre mondiale, il faut reconstruire et trouver les moyens de loger beaucoup sur peu d’espace. Les grands ensembles seront une réponse architectuale et sociale au besoin de l’époque. Dès les années 1970, des immeubles allant jusqu’au R+15 voient le jour. L’aménagement urbain global de la ville est repensé et suit les préceptes de la ville moderne : Des voies de communications rapides sont développées et renforcent l’importance de la place de la voiture dans l’espace public. Dans les années 1980, le métrobus se développe et permet de relier de manière simple Grand Quevilly et la commune de Rouen. Cette nouvelle mobilité a entraîné la construction de nouveaux immeubles à proximité des stations de métro. Le terminus Georges Braque se situe à quelques centaines de mètres de la Place Eugène Delacroix.